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Poteaux en béton armé - Cours PDF

Découvrez un cours PDF complet sur le coffrage des poteaux en béton armé. Ce cours aborde différents aspects du coffrage, ferraillage et chemisage des poteaux en béton armé, en fournissant un résumé détaillé des principaux points traités :

Définition : 

Le cours commence par une définition du coffrage des poteaux, qui consiste à créer des moules temporaires en utilisant des matériaux tels que le bois ou le métal pour soutenir le béton pendant le processus de durcissement.

Documents graphiques : 

Le cours mentionne l'importance des documents graphiques tels que les plans de coffrage et de ferraillage pour guider la mise en œuvre du coffrage des poteaux.

Sollicitations : 

Le cours explique les différentes sollicitations auxquelles les poteaux sont soumis, telles que les charges verticales et horizontales, ainsi que les efforts de flexion et de cisaillement.

Mise en œuvre : 

Le cours détaille les étapes de la mise en œuvre du coffrage des poteaux, y compris l'implantation, le ferraillage, le coffrage proprement dit, le bétonnage et le décoffrage.

Exemple : portique : 

Le cours présente un exemple concret de coffrage des poteaux dans le cas d'un portique, en expliquant les spécificités de ce type de structure.

Renforcement des poteaux : 

Enfin, le cours aborde également la question du renforcement des poteaux, en donnant des indications sur les techniques et les matériaux utilisés pour augmenter leur résistance.

Le cours aborde aussi le coffrage métallique et coffrage en bois.

Coffrage métallique

Le coffrage métallique est une technique utilisée dans la construction pour créer des structures temporaires en métal qui soutiennent le béton pendant le processus de durcissement. Ce type de coffrage offre de nombreux avantages, tels que la rapidité d'installation, la résistance aux intempéries et la réutilisabilité. Il est largement utilisé dans les projets de construction de grande envergure où la productivité et la qualité sont essentielles.

Coffrage bois

Le coffrage bois est une méthode traditionnelle de coffrage qui utilise des panneaux en bois pour créer des moules temporaires pour le béton. Ce type de coffrage est apprécié pour sa polyvalence, sa facilité d'utilisation et son coût relativement bas. Il est couramment utilisé dans les projets de construction de petite et moyenne envergure, ainsi que dans les projets résidentiels. Cependant, il nécessite une attention particulière pour éviter les problèmes de déformation et d'humidité.

Le coffrage bois est une technique de coffrage qui utilise des panneaux en bois pour créer des moules temporaires pour le béton. Il est apprécié pour sa polyvalence, sa facilité d'utilisation et son coût relativement bas. Le coffrage bois est couramment utilisé dans les projets de construction de petite et moyenne envergure, ainsi que dans les projets résidentiels. Cependant, il nécessite une attention particulière pour éviter les problèmes de déformation et d'humidité.

Ferraillage des poteau en béton armé :

Le ferraillage d'un poteau est une étape cruciale dans la construction en béton armé. Il consiste à placer des barres d'armature en acier à l'intérieur du moule du poteau afin de renforcer sa résistance et sa stabilité.

Chemisage des poteau en béton armé :

Le chemisage d'un poteau en béton armé est une technique utilisée pour renforcer ou réparer un poteau existant en lui ajoutant une enveloppe en béton supplémentaire.

Progrès dans le génie civil souterrain + Cours PDF

Progrès en travaux souterrains

Voici quelques avancées significatives dans le domaine du génie civil souterrain :

- Techniques de soutènement améliorées : utilisation de nouveaux matériaux comme les structures en acier, béton projeté, clouages, etc. permettant d'assurer la stabilité des parois sur de plus grandes profondeurs.

- Machines de creusement plus performantes : développement du tunnelier permettant d'automatiser et d'accélérer grandement le creusement des tunnels.

- Modélisation 3D et simulations numériques : la modélisation informatique des ouvrages souterrains et de leur comportement mécanique facilite la conception et l'optimisation des projets. 

- Techniques de reconnaissance des sols perfectionnées : sondages mais aussi géoradars, scans lasers 3D, monitoring des mouvements de terrain apportent davantage d'informations sur la géologie en sous-sol.

- Gestion des eaux souterraines : pompages, drainages, parois étanches permettent de mieux maîtriser les venues d'eau, facteur déterminant pour la stabilité.

- Gestion des risques : modélisations des risques et plans de prévention/protection améliorés (incendie, effondrement, pollution, terrorisme).

- Industrialisation des méthodes : préfabrication d'éléments en usine puis assemblage souterrain réduit les délais et coûts de construction.

- Innovations écologiques : matériaux plus durables, récupération d'énergie, bilan carbone, gestion des déchets de chantier.

En somme, des progrès significatifs permettent aujourd'hui la conception d'ouvrages souterrains toujours plus grands, complexes et résilients.

Cours sur les tunnels et ouvrages souterrains.

Ce document présente les principaux concepts relatifs à la conception et la réalisation de tunnels et d'ouvrages souterrains. Il aborde des thèmes clés tels que les méthodes de calcul numérique, les différents types d'ouvrage souterrain, la gestion de la hauteur de couverture et illustre tout ceci avec des exemples concrets.

Le document est structuré en plusieurs chapitres traitant chacun d'un aspect des tunnels/ouvrages souterrains: généralités, calcul numérique, ouvrages, hauteur de couverture, applications pratiques avec exemples et exercices. Il inclut également des données géotechniques et figures pour illustrer les concepts.

Le document est divisé en plusieurs chapitres, chacun abordant un sujet spécifique. Le chapitre I traite des généralités sur les tunnels et les ouvrages souterrains, tandis que le chapitre II aborde les méthodes de calcul numérique adaptées aux milieux discrets. Le chapitre III est consacré aux ouvrages particuliers tels que le bouclier, la calotte, le cintre, le confinement et la convergence. 

Le chapitre IV traite de la hauteur de couverture dans les tunnels, tandis que le chapitre V présente des applications pratiques. Ce dernier chapitre comprend des exercices et des exemples concrets pour illustrer les concepts abordés dans les chapitres précédents. 

Le document fournit également des données géotechniques pour le site étudié, y compris la résistance en compression, le RQD, les joints continus ouverts, l'espacement entre les joints, l'orientation des joints, la pression d'eau, la venue d'eau et l'angle de frottement. 

Enfin, le document comprend des figures et des tableaux pour aider à visualiser les concepts présentés. Par exemple, la figure V-4 montre la courbe convergence-confinement, tandis que la figure V-1 montre la coupe géologique du site. 

En résumé, le document fournit une introduction complète aux tunnels et aux ouvrages souterrains, ainsi que des informations détaillées sur les méthodes de calcul numérique, les ouvrages particuliers, la hauteur de couverture et les applications pratiques.



les différents types de tunnels pdf

Découvrez les différents types de tunnels à travers ce fichier PDF informatif. Apprenez-en davantage sur les tunnels routiers, ferroviaires, piétonniers, ainsi que sur les tunnels de service et les tunnels de stockage. Téléchargez ce document pour tout savoir sur les caractéristiques et les particularités de chaque type de tunnel, ainsi que sur les normes de sécurité à respecter.

Ce cours sur les tunnels et ouvrages souterrains fournit une introduction complète aux différents types de tunnels, aux procédés de construction et au revêtement des tunnels.

Le cours commence par une présentation des différents types de tunnels, notamment les tunnels routiers, ferroviaires et piétonniers, ainsi que les tunnels pour les services publics tels que les égouts et les conduites d'eau. Les avantages et les inconvénients de chaque type de tunnel sont discutés, ainsi que les facteurs qui influencent le choix du type de tunnel à construire.

 

Le cours se concentre ensuite sur les procédés de construction de tunnels, en commençant par les méthodes d'excavation. Les méthodes d'excavation mécanique, manuelle et par explosifs sont décrites en détail, ainsi que les avantages et les inconvénients de chaque méthode. Les techniques de soutènement des tunnels, telles que les revêtements en béton projeté et les arches en acier, sont également discutées.

Le revêtement des tunnels est un aspect important de la construction de tunnels, car il assure la durabilité et la sécurité des tunnels. Les différents types de revêtements, tels que les revêtements en béton, les revêtements en acier et les revêtements en céramique, sont décrits en détail, ainsi que les facteurs qui influencent le choix du type de revêtement.

Enfin, le cours aborde les défis spécifiques liés à la construction de tunnels en zone urbaine ou montagneuse. Les problèmes liés à la circulation, à la sécurité et à l'environnement sont discutés, ainsi que les techniques de construction spéciales qui sont utilisées pour surmonter ces défis.

En résumé, ce cours fournit une introduction complète aux tunnels et ouvrages souterrains, en couvrant les différents types de tunnels, les procédés de construction et le revêtement des tunnels. Les avantages et les inconvénients de chaque méthode sont discutés, ainsi que les défis spécifiques liés à la construction de tunnels en zone urbaine ou montagneuse.




Comment bien construire votre maison sur un terrain en pente ?

La construction d’un logement sur une surface pentue nécessite le respect de certaines règles. Mis à part les techniques ou les types d’implantations possibles sur ce genre de terrain, il y a aussi la structure des murs qu’il faudra prendre en considération. Comment bien construire son habitation sur un terrain non plat pour éviter que le dénivèlement mette en péril votre investissement ? 

Penser à installer un mur de soutènement pour renforcer la solidité de votre architecture 

Un terrain en pente est caractérisé par un relief irrégulier présentant une surface tantôt haut tantôt bas. En prévoyant un budget pour la construction d’un bloc emboitable pour un mur de soutènement, vous garantissez l’effectivité des travaux. En réalité, un mur de soutènement maintient et gomme les pentes existant sur votre terrain. 

Autrement dit, il vous donne l’illusion d’être sur un chantier plat. Il fait d’ailleurs partie des gros œuvres à ne surtout pas négliger. Il comporte certes un coût, mais l’option du bloc emboitable minimise les coûts et accélère les travaux. 

D’un autre côté, ce mur n’est pas seulement destiné à la clôture de votre maison. 
Même l’aménagement de votre jardin peut nécessiter la mise en place d’un mur de soutènement. Ce dernier préserve le paysage et le sol de l’érosion. Pareillement, il protège contre le glissement de terrain et l’éboulement. 

Connaître les techniques d’implantation pour un logement sur un terrain en pente 

En sachant que le mur de soutènement est l’un des plus gros édifices à aménager, vous êtes maintenant disposé à examiner les types de maisons pour un terrain pentu. Il s’agit notamment de : 
  • La construction encastrée ; 
  • La construction en gratins et la maison en belvédère. 

La construction encastrée ou semi-enterrée 

Une maison encastrée ou semi-enterrée correspond parfaitement à un terrain en pente. Elle s’intègre à l’environnement, cependant elle offre moins de vues sur le paysage. Tout cela pour s’adapter à la typologie de la surface. Un logement semi-enterré serait l’idéal pour une construction en montagne

De plus, elle garantit une isolation naturelle, car elle est à moitié recouverte de terre. La température qui s’y dégage est donc constante. Le seul bémol reste le coût à dépenser pour les travaux de déblaiement

La construction en gradins et la maison en belvédère 

Ce type de construction présente également des avantages pour abriter une habitation sur une non plate. Contrairement à la maison semi-enterrée, celle en gratins ou en paliers exige la création de plans successifs pour respecter le dénivelé de la surface. 

Les vues depuis les pièces sont plus perceptibles et la luminosité est meilleure relativement à la construction encastrée. Néanmoins, il va falloir construire des escaliers dans plusieurs zones à l’intérieur du logement. 

La construction en belvédère est une technique d’implantation qui empêche le terrassement du terrain. Le paysage reste naturellement intact et la vue est dégagée puisque la maison repose sur des pilotis. Ces derniers sont faits à partir de matières solides et capables de maintenir l’ouvrage face aux menaces du vent.

Les différents types de murs

Premiers éléments du gros-œuvre, les murs jouent un rôle fondamental dans une construction. Dans le  cadre de notre guide sur la construction de maison, découvrez ici les différents types de murs et leurs  matériaux de construction. 

Leur fonction première est d’assurer la stabilité et la rigidité d’un bâtiment, mais elle est souvent  supplantée ou complétée par l’aspect décoratif ou sécuritaire de son usage. C’est grâce à des murs  parfaitement conçus qu’une maison, une clôture ou toute autre construction évitera de se déformer et  de s’effondrer. 

Il existe plusieurs types de murs, parmi lesquels : 

• Le mur aveugle d’extérieur qui ne présente aucune ouverture ou faiblesse visible sur sa  structure.  

• Le mur de clôture qui délimite un terrain, agrémente le bâti et équilibre les sols en cas de  différence de niveau. 

• Le mur banché construit avec du béton banché. 

• Le mur de pignon, qui est une façade sans entrée ou soutenant un toit plat. 

• Le mur de façade comportant généralement des ouvertures tout en améliorant l’esthétique et  l’isolation. 

• Le mur de refend qui porte les planchers, les plafonds, la charpente, et divise la surface  intérieure habitable en différentes pièces. 

• Le mur de soutènement qui supporte les modifications de terrain et contient les terres. • Le mur mitoyen qui permet de séparer deux bâtiments voisins ainsi que les cours et les jardins.

• Les cloisons qui ont un rôle de remplissage. 

• Le mur porteur qui supporte le poids de l'ensemble des installations de votre maison. 

• Le mur de sous-sol extérieur enterré ou semi-enterré qui supporte les planchers et soutient les  terres humides. Il est utilisé pour concevoir des caves, de garages, et toutes autres pièces souterraines. 

QUEL MATÉRIAU ? 

Selon l’usage auquel il est destiné, un mur nécessitera l’utilisation d’éléments appropriés à son  édification. Le matériau de construction choisi aura un impact direct sur le coût et la qualité du bâti. Il en existe plusieurs sortes, chacun possédant ses spécificités en termes de robustesse, d’isolation, de  respect de l’environnement, de coût, etc. Vous rencontrerez très souvent des murs construits à base de 

pierres, de bois, de briques, de parpaings, ou de béton. 

La pierre est un matériau durable, mais onéreux. Il est dense et assez lourd, c’est pourquoi un mur en  pierre requiert des fondations hors gel solides. Ce type de construction réclame patience, vigilance et  force, car travailler avec du moellon est épuisant. 

Le parpaing est un matériau en béton ou en ciment, creux et léger, qu’il est préférable de travailler en  automne ou au printemps pour éviter un séchage difficile ou accéléré. Il est robuste et isolant et  présente un bon rapport qualité/prix. 

Les briques de mur existent en plusieurs dimensions et peuvent être réalisées à partir de terre cuite, de  béton cellulaire ou de béton léger. C’est un matériel simple et polyvalent. 

Le béton cellulaire est composé à près de 80 % d'air et constitue, de ce fait, un très bon isolant. C’est le  matériau le plus utilisé au nord de l’Europe. 

Le bois est un matériau esthétique, facile à trouver et très performant au niveau énergétique. Vous  pouvez utiliser la technique du bois massif empilé pour monter un mur en bois ou utiliser des panneaux  massifs, préfabriqués en usine qui seront assemblés sur place.


 

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